Elle peut être conduite unilatéralement ou conjointement.

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Ainsi, dans le cadre d’un divorce, seule une partie peut demander l’évaluation ou conjointement permettant de déterminer une valeur objective afin d’éviter la case judiciaire en cas de désaccord.

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Ou, dans le cadre d’une succession, l’expertise conjointe permet de mettre à la charge la succession le coût de l’expertise et également éviter une procédure judiciaire longue et bien plus coûteuse.

Dans le cadre d'une expertise judiciaire, l'expert doit obligatoirement respecter des principes supplémentaires par rapport à l'expertise amiable. 

Notamment, le principe du contradictoire. Toutes les parties dans une procédure, doivent être informées de tout acte, document ou expertise réalisés dans le cadre de la procédure et avoir un droit de réponse.

 

En vertu des dispositions de l’article 233 du code de procédure civile, « le technicien, investi de ses pouvoirs par le juge en raison de sa qualification, doit remplir personnellement la mission qui lui est confiée. »